Les gendarmes mobiles de l'escadron 23/9, désigné par la direction générale de la gendarmerie nationale pour assurer la formation de policiers afghans, partiront le 16 novembre en Afghanistan.
Après avoir suivi une préparation intense, l'escadron, renforcé par 3 gendarmes St-Quentinois, 2 Noyonnais et 1 Amiénois, spécialisés en transmission radio et mécanique, s'envolera pour une mission de 6 mois.
Mercredi soir, une cérémonie officielle avait lieu dans la cour de la gendarmerie de Chauny, en présence des gendarmes et de leurs familles.
« Il ne faut pas se voiler la face, il y a un degré de dangerosité qui n'est pas à nier, explique le capitaine Philippe Pacaud, qui assurera le commandement de la mission. La préparation que nous avons suivie nous permet de nous mettre en condition pour approcher au plus près la réalité. Il s'agit d'une nouvelle mission, sur un terrain difficile, mais nous avons appris à gérer notre appréhension. »
« Il ne faut pas se voiler la face, il y a un degré de dangerosité qui n'est pas à nier, explique le capitaine Philippe Pacaud, qui assurera le commandement de la mission. La préparation que nous avons suivie nous permet de nous mettre en condition pour approcher au plus près la réalité. Il s'agit d'une nouvelle mission, sur un terrain difficile, mais nous avons appris à gérer notre appréhension. »
Munis d'un équipement solide - véhicules avant blindés, fusils d'assaut allemands ayant équipé le GIGN…, les militaires, qui sont rompus aux longues missions en territoire difficile, devront former les policiers afghans puis les accompagner sur le terrain. Leur moral est excellent, précise le capitaine Pacaud. Nous avons également beaucoup discuté avec les familles. »
Les militaires seront en relation avec leurs proches via Internet et les moyens de communication habituels. Leurs enfants ont reçu un carnet de mission, grâce auquel ils pourront suivre de près le travail de leur papa en Afghanistan. Une réception dédiée aux familles a eu lieu hier soir, après la cérémonie officielle.
DIX-HUIT GENDARMES EN IRAK
Un peloton de l'escadron 23/9 de Chauny, soit dix-huit hommes, assurera pendant trois mois la protection de l'ambassade de France en Irak. « Notre mission est de permettre à nos diplomates de représenter la France dans ce pays », signalait mercredi soir, le général Déanaz, en marge de la cérémonie de départ organisée en présence des familles et des élus locaux.
Cinq gendarmes ont déjà rejoint l'Irak, dont l'adjudant-chef chargé du commandement en l'absence des officiers « réquisitionnés » pour l'Afghanistan.« Les départs seront échelonnés mais, d'ici la fin du mois, les dix-huit gendarmes seront en poste », précisait le capitaine Philippe Pacaud. Les Chaunois ne seront pas esseulés puisque plusieurs gendarmes du GIGN sont également dépêchés dans ce pays du Moyen-Orient pour assurer la sécurité des personnels. « C'est davantage leur domaine de prédilection.
Cinq gendarmes ont déjà rejoint l'Irak, dont l'adjudant-chef chargé du commandement en l'absence des officiers « réquisitionnés » pour l'Afghanistan.« Les départs seront échelonnés mais, d'ici la fin du mois, les dix-huit gendarmes seront en poste », précisait le capitaine Philippe Pacaud. Les Chaunois ne seront pas esseulés puisque plusieurs gendarmes du GIGN sont également dépêchés dans ce pays du Moyen-Orient pour assurer la sécurité des personnels. « C'est davantage leur domaine de prédilection.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire