L'escadron de gendarmerie mobile de Saint-Quentin a été envoyé en mission en Guadeloupe, en pleine crise. Le job des 65 militaires : libérer les routes et patrouiller la nuit dans les quartiers sensibles. Leur commandant, le capitaine Jean-Baptiste Abribat, raconte leur quotidien, bien loin du séjour touristique.
Sécurité. « La situation est bien sûr très tendue. Bien plus tendue que ce que l'escadron a pu connaître ces dernières années. Nous avons été pris à partie plusieurs fois, en essuyant notamment des jets de pierres. Nous avons dû faire usage de gaz lacrymogènes.
Il faut différencier la journée, où on nous empêche parfois de franchir les barrages, et la nuit, où nous sommes confrontés à des actes de violence pure, comme des incendies ou des pillages. »
Sécurité. « La situation est bien sûr très tendue. Bien plus tendue que ce que l'escadron a pu connaître ces dernières années. Nous avons été pris à partie plusieurs fois, en essuyant notamment des jets de pierres. Nous avons dû faire usage de gaz lacrymogènes.
Il faut différencier la journée, où on nous empêche parfois de franchir les barrages, et la nuit, où nous sommes confrontés à des actes de violence pure, comme des incendies ou des pillages. »
1 commentaire:
En "6 points" :
BRAVO la GM toujours réactive.
Mais :
65 en intervention,
75 c'était "ric rac",
100 était préconisé (retex 1968)
5 à 15 Escadrons seraient dissous.
Bonne chance à la "jeune Garde".
Vieuxmoblot.
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